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Ton attention s’il te plaît

[…] Public chéri, le mardi 1er février, je répète, le mardi 1er février, l’émission ne sera pas enregistrée chez Habibi, mais ailleurs. Au Nul Bar Ailleurs, même, pas loin de chez Habibi, mais quand même pas au même endroit. Note donc bien l’adresse, public chéri : 18 rue de Cotte. Je répète, 18 rue de Cotte (à deux pas du marché d’Aligre). Sois présent à 20hrs tapantes pour le début de l’émission ou tais-toi à jamais. Va en paix, public chéri, et ne va pas chez Habibi, donc, car tu n’y trouverais pas d’émission.

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L’émission du 27 janvier 2011

[…] Confite dans l’amour du beau et des friches industrielles, la Salle 101 parle de Iain Sainclair (London Orbital), de Frédéric Delmeulle (Les manuscrits de Kinnereth) et — surprise — de cul. Oui, la Salle 101 parle de cul. Et notamment d’Alan Moore (Filles perdues). Si c’est pas malheureux.

« La Corée, c’est yeah », assure Martin B.

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L’émission du jeudi 20 janvier 2011

[…] Pour célébrer la mort de Michèle Alliot-Marie, la Salle 101 parle du tandem DOAManotti (L’honorable Société), d’un auteur russe au nom imprononçable Sigismund Quelque Chose (Souvenirs du futur) et de Béatrice Egémar (Noces Vermeilles). Vive la France.

 » Voilà, oui », confirme Alfred A.

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L’émission du jeudi 13 janvier 2011

[…] reprenant le célèbre slogan Le 15 janvier, casse ta télé ! (sauf qu’on est le 13), la Salle 101 mange sa coulpe sur le dos de la main morte et parle sans trembler de Lafferty (Les quatrièmes demeures), de Bartlett (Un vide à la place du coeur) et de Sean Stewart (Dead Kennedy). Viva Las Vegas !

« Tain, trop vieux ! », s’exclame Jules I.

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L’émission du jeudi 6 janvier 2011

[…] Pour célébrer cette glorieuse année 2011 résolument placée sous le signe de la ruine des pauvres et l’écrasement des déviances, la Salle 101 parle de John Gardner (Grendel), de Inception (eh oui) et même de cinéma suédois (Sound of Noise). Champagne !

« Depuis que le docteur m’a prescrit des pilules, ça va mieux », nous assure Jean-Louis B.

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L’émission du jeudi 23 décembre 2010

[…] La Salle 101 se reprend, réactualise ses valeurs et disserte de Bolaño (Le troisième Reich), de Lewis Trondheim (Bludzee et Les carottes de Patagonie) et de Warren Ellis (Artères souterraines). Et le public d’en redemander.

« La vérité, c’est que le monde est triste », constate Karim L.

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Ton attention s’il te plaît.

[…] Public Chéri, par respect pour l’église catholique, la Salle 101 fête Noël le mardi 28 décembre 2010. Il n’y aura donc pas d’émission le mardi 28 décembre 2010. Je répète, il n’y aura pas d’émission le mardi 28 décembre 2010. Reprise des enregistrements le mardi 4 janvier 2011. Va en paix, public mon amour, va en paix.

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L’émission du jeudi 16 décembre 2010

[…] malgré les intempéries qui, à l’instar des hordes gauchistes, terrorisent la France, la Salle 101 prend son courage à deux mains, parle de Freak Angels (Warren Ellis), de Bit-Lit ! (aux Moutons électriques), de Transparence des Tigres (encore), de Jack Finney (Le voyage de Simon Morley) et même (pour rigoler) des Petits Mouchoirs (ah ah ah). Attention, le son est mauvais. Une inversion de phase inconsidérée sans doute fomentée par le ministère de l’intérieur ayant pulvérisé tous les indices de nullité technique. Hop.

« J’ai cru que le monde s’écroulait, mais non, dommage », se lamente Jean-François P.

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L’émission du jeudi 9 décembre 2010

[…] Enfin digne et sympathique, la Salle 101 parle de tout un tas de trucs fous: Léo Kennel et sa Transparence des tigres, Barry Gifford et son formidable Une éducation américaine, Charles Burns et son intrigant Toxic, Jack McDevitt et son cycle SF, sans oublier une excellente bande-dessinée, Les derniers jours d’un immortel, le tout dans le respect des croyances les plus diverses et la tolérance politique. Renversant.

« Le pistolet à clous ! », réclame Jeanine N.

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L’émission du jeudi 2 décembre 2010

[…] Triste, triste Salle 101. Après l’excellent début d’Alice qui nous parle d’Antoine BelloLes falsificateurs & Les éclaireurs —, le pathétique Raoul se noie dans deux bouteilles de rouge et n’arrive plus à articuler le moindre mot. De fait, saoul comme une vache, il massacre la chronique du film (?) Splice et du nouveau roman de Charlotte Bousquet, Llorona on the rocks. Ensuite, il part, s’endort dans le train, se réveille à deux heures du mat’ dans une gare inconnue, y passe trois heures et repart à cinq heures dans l’autre sens pour rentrer chez lui comme une merde. Vie d’esclave.

« L’important, c’est de ne jamais penser au bout de la route », philosophe Marcel I.