[…] Nous, à la Salle 101, nous aimons Catherine Dufour, à tel point que nous la transformons en Abdaloff d’un soir le temps d’une cérémonie païenne qui se tiendra à la librairie Le Nuage Vert, 41 rue Monge, Paris 5, à partir de 19h30. Viens, ce sera beau, ce sera fou, ce sera bath, Catherine Abdaloff nous parlera de quatre romans qui l’ont marquée dans sa vie d’artiste, donc nous, nous serions toi, nous ne raterions pas ça (et pour répondre à ta question, oui, cela implique bien qu’il n’y aura pas d’enregistrement ce soir au BAM, dans les conditions habituelles). Allez.
Catégorie : Nouveau
L’émission du jeudi 4 mars 2021
[…] scandalisée par l’acharnement judiciaire envers son président de toujours, son président de coeur, la Salle 101 consent néanmoins à t’éclairer intellectuellement : Novice, roman raté d’Octavia Butler. Un souvenir nommé empire, roman de SF grosse d’Arkady Martine. Genèse de la cité, roman youkiesque de N. K. Jemisin. Chouette, non ?
« T’sais quoi, au bout d’un moment, t’sais plus », explique un blogueur SF après avoir reçu un livre de la collection Outrefleuve.
L’émission du jeudi 7 novembre
[…] Confortée dans son bon droit, la Salle 101 fête la prochaine libération de Patrick Balkany en parlant de trucs fondamentaux, dont voici la liste : Joker, film de merde adoré par les incapables et les nazis. Semiosis, chouette roman de Sue Burke. Ada, ou la beauté des nombres, biographie catherinedufourienne de Catherine Dufour. Voilà qui est fou.
« L’as-tu vu, l’as-tu vu, l’as-tu vu mon gros bambou arc-en-ciel ? » chantonne Nicola W. en relisant ses interventions électroniques.
[…] Tu veux tout savoir de la nouvelle collection Albin Michel Imaginaire (AMI) ? Tu veux tout connaître de la nouvelle fusée en tôle propulsée au vin rouge de Benoît Delépine ? Moi, à ta place, je cliquerais, mais tu fais comme tu veux, hein, on veut pas te forcer.
Gérard Abdaloff te parle (oui, encore)
[…] Enfin libre, heureux, riche et musclé, Gérard Abdaloff trouve le temps de te rééduquer intellectuellement, alors remercie-le. Oui, remercie-le.
[…] Toujours aussi désagréable, pots-fasciste et néo-conservateur, Gérard Abdaloff te dit des choses d’importance sur Jacques Barbéri et son dernier roman paru chez La Volte, Mondocane. Eh ouais, man, Jah love.
Gérard Abdaloff te parle #3
[…] Bien vivant, frétillant, barbu et moite, Gérard Abdaloff te parle de Terreur dans la nuit, parce que oui, reconnais-le, tu aimes avoir peur, c’est pour ça que tu voteras Jean-François Copé à la primaire, coquin. Personne ne t’en voudra, soyons clairs.
Gérard Abdaloff te parle #1
[…] toi qui croyais Gérard Abdaloff exilé au fond de la France pauvre, ah ah ah, pauvre fou, Gérard Abdaloff claque ta thune à Miami, se vautre dans la coke et les piscines de dollars, conduit des grosses voitures pleine de prostitué(e)s sur la banquette arrière, mais trouve quand même le temps de te passer un coup de fil pour te parler de Clive Barker. Alors ? Merci qui ?
Ton attention s’il te plaît.
[…] ce soir, le Bar à Mines est envahi par vingt deux gros cons en short, soutenus par des hordes de post-nazis bruyants et avinés. Amatrice de subtilité, d’élégance et de vins fins, la Salle 101 se refuse évidemment à communier avec cette plèbe abrutie par les produits bas de gamme et les spectacles décérébrants destinés principalement aux pauvres, et reporte en conséquence l’enregistrement du mardi 12 avril 2016 au mercredi 13 avril 2016, même heure. Note.
[…] Auditrices, Auditeurs, Françaises, Français, Arméniens, Arméniennes, la Salle 101 fête ses dix ans le samedi 8 décembre, je répète, LA SALLE 101 FÊTE SES DIX ANS LE SAMEDI 8 DÉCEMBRE 2012 au bar La Piscine, 5 place Hébert, dans le 18ème arrondissement de Paris, au Métro Max Dormoy. Venez nombreuses, venez nombreux, ça commence à 20hrs précises, il y aura des discours, un open bar, Jules Abdaloff torse nu, des livres conseillés, des cacahuètes, un photomaton géant et toutes sortes de surprises aussi folles que sensuelles. Une célébration qui coïncide justement avec les 20 ans de Fréquences Paris Plurielle, voilà qui tombe bien.
« Moi, je rate ça pour rien au monde« , nous signale Bernard W.