[…] Triste, triste Salle 101. Après l’excellent début d’Alice qui nous parle d’Antoine Bello — Les falsificateurs & Les éclaireurs —, le pathétique Raoul se noie dans deux bouteilles de rouge et n’arrive plus à articuler le moindre mot. De fait, saoul comme une vache, il massacre la chronique du film (?) Splice et du nouveau roman de Charlotte Bousquet, Llorona on the rocks. Ensuite, il part, s’endort dans le train, se réveille à deux heures du mat’ dans une gare inconnue, y passe trois heures et repart à cinq heures dans l’autre sens pour rentrer chez lui comme une merde. Vie d’esclave.
« L’important, c’est de ne jamais penser au bout de la route », philosophe Marcel I.