[…] Saisie par l’euphorie des bombes et du sang, car Dieu, que la guerre est jolie, la Salle 101 chronique diverses choses de façon belliqueuse, comme ça, pour le plaisir, en l’absence de Raoul qui est parti combattre pour la liberté. Nightmare Alley, roman nouveau mais vieux de William Lindsay Gresham. Lorsque le dernier arbre, roman presque nouveau mais bon, de Michael Christie. Mon combat, autobiographie délirante de 87 879 pages de Karl Ove Knausgard. Oui oui, la Salle 101 ose tout.
« Franchement, je n’ai pas voulu ça », se lamente le fantôme du GPI en contemplant avec amertume ce qu’il est devenu.