[…] Ivre de joie, folle de bonheur, prête à convoler en justes noces chez ses voisins helvetes, la Salle 101 s’envole vers de nouveaux horizons littéraires en parlant de Washington Noir, recueil de nouvelles présentées et sélectionnées par George Pelecanos, mais aussi de L’homme qui savait la langue des serpents, jolie chose de Andrus Kivirähk. Va en paix, public.
« La littérature, c’est un point de vue », nous signale Maxime C.