[…] Contente, joyeuse, la Salle 101 étrangle un auditeur bruyant dans les conditions du direct et en profite pour parler de plusieurs choses d’importance, dont Le Dit de Sargas, de Régis Antoine Jaulin, mais aussi de Atomic aztex, de Sesshu Foster, sans oublier Ta mort sera la mienne, de Fabrice Colin. Tuer, c’est mal.
« Oui, c’est vrai, et pourtant, on se demande », geint Claude A.