[…] Multipliée comme les pains et les poissons, la Salle 101 marche sur les eaux et n’hésite pas à dire du bien de tout un tas de choses parfaitement estimables, comme Flatland, d’Edwin Abbott, Washita, jolie BD indienne sans colons de Gauthier, Labourot et Lerolle, ou Shibumi, emballant roman mystérieux de Trevanian. Par contre, dans un élan de joie mauvaise, la Salle 101 conchie la critique cinématographique française et dit toute la vérité sur The Master, navet gélatineux même pas drôle de Paul Machin Anderson. Alors, tu vois, quoi.
« Moi, le fandom, j’aime bien« , persiste Jean-Roger M.