[…] Heureuse d’égorger les pauvres pour leur bien, la Salle 101 s’envole vers les hautes sphères de l’infini en parlant de choses tout à fait folles, comme Haïti Noir, recueil de nouvelles expressément drôles, Tes yeux dans une ville grise, de Martin Mucha, sans oublier Ultimo Elvis, d’Armando Bo. Grâce à la Salle 101, la France n’a plus de peau d’orange.
« La Salle 101, ça donne faim », nous signale Lise A.