[…] Aloÿsus et Jules Abdaloff parlent en coeur du dernier Tavernier, Dans la brume électrique. Et c’est beau. Et long. Mais beau quand même.
« La vie c’est merdique, et après, tu crèves. » nous rappelle le jeune François, sept ans.
[…] Aloÿsus et Jules Abdaloff parlent en coeur du dernier Tavernier, Dans la brume électrique. Et c’est beau. Et long. Mais beau quand même.
« La vie c’est merdique, et après, tu crèves. » nous rappelle le jeune François, sept ans.