[…] Épris de gloire et de beauté, Alice et Raoul parlent du dernier Norman Spinrad, avant de faire de même avec Peter Watts, tandis que Jules ronge son frein en attendant d’évoquer le dernier Barbéri. Du grand art.
« Moi, c’est simple, je ne nage jamais sans ma Salle 101, » nous assure Mme Vitré.