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L’émission du jeudi 12 juin 2014

[…] comme promis, Edyr Augusto est venu tout droit du Brésil nous parler de la vie, de l’écriture, de la mort et de Michel Platini. Et toi, tu as raté ça ?

« La Salle 101, c’est un peu la championne du monde des émissions de radio », affirme Edyr A.

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Edyr Augusto dans la Salle 101

[…] Ce soir, dès 20h11, viens donc à la librairie Charybde – 129 rue de Charenton, Paris 12 – écouter Edyr Augusto te parler du vrai Brésil. Ça te changera.

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L’émission du jeudi 5 juin 2014

[…] Laminée par la démission forcée de Jean-François Copé qui marque d’une pierre infâme une année décidément mal barrée, la Salle 101 proteste officiellement en parlant de Godzilla (un film – ? – de on ne sait plus qui), de Trois (un roman de Sarah Lotz) et de Le système D (un roman de Nathan Larson). Si tout le monde avait fait comme toi en 40, public, on parlerait tous allemand.

« Ça a beaucoup baissé, la Salle 101″ constate, amer, Alfred A.

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Interviews On Air

L’émission du jeudi 29 mai 2014

[…] Comme convenu, le très affable Karim Berrouka est venu en personne nous éclairer sur son rapport à l’écriture, entre deux élans de louanges vers Zoûl, tout en te rappelant que tu peux acheter, faire acheter et offrir plusieurs fois son dernier roman, Fées, weed et guillotines, paru aux éditions ActuSF. C’est beau, la vie sur la Cinq.

« Teuma comment c relou ce plan », se plaint Karim B.

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Karim Berrouka dans la Salle 101

[…] Le mardi 27 mai 2014 est à marquer d’une pierre blanche dans la glorieuse histoire de la Salle 101 : malgré le chagrin, le choc, le déni et la stupéfaction provoqués par la mort du Général Jaruzelski, Karim Berrouka viendra prêcher Zoûl dans les conditions habituelles, et ce pendant plus d’une heure. Réjouis-toi, païen.

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L’émission du jeudi 22 mai 2014

[…] Comme prévu, l’immense Leandro Avalos Blacha a fait un petit aller-retour de Buenos-Aires comme ça, pour toi, public, alors sois content.

« C’est très bien, la Salle 101, c’est un peu grâce à elle si j’ai le Prix Nobel 2023 », nous assure Leandro A. B.

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L’immense Leandro Avalos Blacha dans la Salle 101.

[…] Leandro Avalos Blacha est désormais dans cet avion, là, qui délaisse les rives brumeuses de Buenos-Aires pour s’élever vers l’infini avec la grâce d’un Prix Nobel 2023. Il atterrira directement dans la Salle 101, enregistrée exceptionnellement le mardi 20 mai [demain, quoi] à la librairie Charybde [rue de Charenton, tu vois où ?], qui, malgré sa douteuse collaboration avec le quotidien Le Parisien, conserve ton estime, public. Viens nombreux, d’ailleurs, ça commence aux alentours de 19h30. Tu ne le regretteras pas.

« Regarde, tu as vu, là ? Regarde ? C’est Leandro qui retourne à Paris », nous indique Miguel Pedro B.

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L’émission du jeudi 15 mai 2014

[…] Contrariée par les rumeurs fantaisistes de surfacturation à l’UMP, la Salle 101 présente des comptes impeccables en parlant du dernier roman de Neal Stephenson, Les deux mondes, sans négliger le reste : Black Mirror, série anglaise bizarre pour les gens bizarres, et La femme de l’ogre, bande-dessinée muette très jolie. Alors, hein ?

« Fichtre, où ai-je bien pu ranger ma Salle 101 ? » se demande Guido S.

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L’émission du jeudi 8 mai 2014

[…] Consternée par la descente aux enfers de Silvio Berlusconi, condamné par une justice inique à essuyer des anus de vieux plus jeunes que lui, la Salle 101 rétablit certaines vérités universelles en parlant d’oeuvres notables : L’univers de carton, de Christopher Miller, Last Exit to Brooklyn, de Hubert Selby Jr. et Zoo City, de Lauren Beukes. De quoi partir au soleil tranquille en piétinant les morts.

« L’enregistrement de la Salle 101 en public, c’est un moment de communion », assure Alice A.

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L’émission du jeudi 24 avril 2014

[…] contente et confite, la Salle 101 évoque plusieurs machins qui font plaisir aux yeux, La très bouleversante confession de l’homme qui a abattu le plus grands fils de pute que la terre ait porté, d’Emmanuel Adely, Épépé, de Ferenc Karathy, Certains l’aiment noir, de Foerster. Autant dire que l’économie est en passe de se retourner.

« La Salle 101 en public, c’est un coup d’état permanent », râle François M.