[…] contente et confite, la Salle 101 évoque plusieurs machins qui font plaisir aux yeux, La très bouleversante confession de l’homme qui a abattu le plus grands fils de pute que la terre ait porté, d’Emmanuel Adely, Épépé, de Ferenc Karathy, Certains l’aiment noir, de Foerster. Autant dire que l’économie est en passe de se retourner.
« La Salle 101 en public, c’est un coup d’état permanent », râle François M.