[…] Ascèse, talent, confiance et communisme, comment mieux définir l’immense Jules Abdaloff quand il parle de Michel Jeury ?
« J’y étais, j’y étais, mais j’ai vomi avant le concert, » nous précise François, Punk à Vincennes.
[…] Ascèse, talent, confiance et communisme, comment mieux définir l’immense Jules Abdaloff quand il parle de Michel Jeury ?
« J’y étais, j’y étais, mais j’ai vomi avant le concert, » nous précise François, Punk à Vincennes.
[…] Devant une foule en transe (deux personnes), la Salle 101 débat autour du dernier Bilal, du dernier Pinocchio et du dernier Ken Bruen. Enfin, non, plutôt de l’antépénultième, pour ce dernier. Ken Bruen, en l’occurence.
« Cette antenne mobile crée des cancers dans ma tête, » se plaint M. Didier Descoing.
[…] Comme prévu, Stéphane Beauverger est venu nous parler de son dernier roman — Le Déchronologue — récemment paru chez La Volte. Et yo-yo-yo, et non rien finalement.
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[…] Comme prévu, DOA a répondu à nos questions, devant un public pétrifié de terreur. Trois parties écoutables et téléchargeables ici :
[…] Notre nouvelle — mais brillante — recrue Jules Abdaloff subjugue l’assemblée en parlant de Turf et de La nef des fous. Fidèle à sa réputation de surfeuse de l’impossible, Charlotte Abdaloff évoque le destin de Nancy Kress et de son roman récemment paru en poche : Les hommes dénaturés. La veille de l’enterrement d’Alain Bashung, donc.
« J’habite en haut de l’immeuble, là, et on capte super bien FPP, » nous signale Madame Le Torrec.
[…] Malgré la présence d’un groupuscule néo-gauchiste mou, la glorieuse Salle 101 s’est tenue devant une audience aux cheveux courts. Nous parlâmes de Warchild, Space Opera™ de qualité, et de L’île au trésor. Mais celle de Pierre Pelot, pas celle de l’autre, là.
« Comme vous m’êtes sympathique, je vous offre une place de parking. » Marcel Lerouge, maire de Vernouillet.
[…] En ces temps douloureux où le deuil d’une nation transie trouve une échappatoire manquée dans un réel parfois frelaté, la Salle 101 continue son oeuvre émancipatrice et — avec une dignité qui n’échappera à personne — évoque d’abord la sombre affaire Benjamin Button, avant de s’en prendre aux japonais avec Opération Mort, de Shigeru Mizuki. Halte à la décadence. Enfin, l’espoir. Les rêves. Et la peine de mort.
« Fidèle lecteur de votre émission, je vous envoie une photo d’un collègue. » Jean-Michel, agent à la RATP SURETÉ.
[…] Un public chatoyant, une famille Abdaloff au grand complet, une pompe désormais habituelle, l’émission s’est déroulée dans des conditions optimales, évaluées à 0,2 sur l’échelle de l’illégalité, mais 7,5 sur l’échelle du politiquement incorrect. La très sérieuse Alice Abdaloff a bien plombé l’ambiance en parlant du journal d’une berlinoise violée pendant l’occupation russe à la toute fin de la Seconde Guerre Mondiale. Raoul, lui, s’est avachi dans la littérature facile avec des super-héros dedans, mais ça ne l’a pas empêché de recommander chaudement Un jour, je serai invincible. Toujours dans une optique résolument orientée super-héros foireux, Charlotte Abdaloff a parlé bande-dessinée et dit du bien du Prestige de l’uniforme. Tout un programme.
« La Salle 101, c’est une vraie bouffée d’air frais dans ma vie » nous dit Mme Paek Won Choo.
[…] Devant un public incroyablement nombreux (sept personnes, dont un nouveau), la Salle 101 s’est déroulée dans une ambiance de fête, avec les Cramps en fond sonore et un sommaire de rêve, comme on en trouve peu à la radio. Alice Abdaloff ouvre le bal avec l’excellent Le club des policiers yiddish de Michael Chabon. Aloÿsius Abdaloff enchaîne avec un film de vampires suédois, Morse, tout en taclant au passage le récent Twilight. Enfin, Raoul abdaloff conclut avec Quinze Minutes, subtil roman de Charles Dickinson. Cette émission est classé 2.2 sur l’échelle de l’illégalité. On a fait mieux.
Pour finir, voici un papier peint :
[…] Comme promis, Fabrice Colin est venu nous voir pour nous parler de fin du monde, de bande-dessinée, de Michael Moorcock et de pas mal d’autres choses… Morceaux choisis :
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