[…] Enfin convertie au néo-libéralisme littéraire, la Salle 101 décide d’enquêter au plus près de ce qui se fait de mieux, et le résultat va t’étonner : Un bon indien est un indien mort, de Stephen Graham Jones. Everything, everywhere, all at once, petit film barré tout à fait bien. Le dragon de lune, premier roman de fantasy russophone de Vladimir Bogorad. N’est-ce pas ouf guedin ?
« Toi je sais pas, mais moi j’y crois plus… » susurre un éditeur en contemplant ses chiffres.