[…] Toujours fiable dans la performance, la Salle 101 rattrape [enfin] son retard et parle de plusieurs choses essentielles en ces temps funestes d’incertitude économique : La guerre olympique, de Pierre Pelot. Mexico Noir, anthologie de nouvelles rassemblées par Paco Ignatio Taibo II (que mille pétales de roses se déposent sur son chemin lumineux). Pour en finir avec le Cinéma, de Blutch. Il était temps, public, il était temps.
« Moi c’est Montebourg que je préfère » nous signale Mlle C.