[…] Juste avant que l’horreur socialiste vampirise nos forces vives à grand renfort d’impôts anticonstitutionnels, la Salle 101 résiste en parlant de plusieurs choses nécessaires. Le dernier Jérôme Noirez, par exemple, sobrement intitulé 120 journées. Le dernier Lindqvist, aussi, magnifiquement nommé Le retour des morts. Et même le dernier Stefan Mani, intelligemment titré Noir Karma. Notre façon à nous de soutenir l’exploitation du gaz de schiste, en quelque sorte.
« C’est de plus en plus compliqué de se suicider » proteste Jean-Luc D.