[…] Consternée par l’irruption de l’anti-France au sein du débat public, la Salle 101 apporte sa pierre personnelle au redressement national en parlant de Robert-Charles Wilson (À travers temps) et de l’épatant Effroyabl Ange1, du regretté Iain M. Banks. La Salle 101, c’est un peu la madeleine de Michel Sardou.
« Comment je vais tous leur péter la gueule », jubile Jean-François C.