[…] Ravie d’assister de son vivant à la fin du monde et à l’effondrement de la société spectaculaire marchande que ses plus ardents valets persistent à défendre malgré son état de mort cérébrale, la Salle 101 se fait légère, douce, amoureuse, subtile : Rosewater 2, insurrection, roman youpichou de Tade Thompson. The Expanse, un jeu de rôle tiré de la série de romans éponymes. Cadavre exquis, roman argentin cannibale d’Augustina Bazterrica. Que de nuevo, bolludo ?
« Les couchers de soleil, c’est comme l’imaginaire français, c’est vraiment de la merde », balbutie Raoul A. après sa troisième Corona.