[…] Dans un hurlement de joie démente, la Salle 101 parle du dernier roman de Douglas Coupland, d’un texte de William Gay et même d’Alan Moore, grâce à la sensualité féline qui caractérise Alfred. L’assistance est sans voix.
« Je n’ai jamais rien compris à la science-fiction » nous explique Claude Lévi S.