[…] Avant-gardiste, fulgurante, progressiste et franquiste, la Salle 101 fait dans la dentelle en évoquant plusieurs choses fascinantes que le pauvre n’aura évidemment jamais les moyens de s’offrir, ni financièrement, ni intellectuellement : AD Noctum, de Lamarque et Portrait, La frontière, de Bard. Mort aux pauvres.
« L’été, c’est pour les cons », nous confirme Jérôme N.