[…] Affligée, terrassée, assommée, sonnée, horrifiée, endeuillée par la vie de Bernard Werber, la Salle 101 se console en parlant de choses lourdes comme des chevals morts, mais néanmoins bonnes : Capitaine Futur, pulperie grotesque, sexiste et marrante, par Edmond Hamilton. Le Sympathisant, comédie jubilatoire sur l’exil et la déportation, par Viet Thanh Nguyen. England’s Dreaming, gros essai sur le rire dans la musique classique, par John Savage. Allez, tous en Harley.
« La mort, la mort, la mort n’est rien », prétend Luc F.