[…] Toujours prête à soutenir son ministre de l’intérieur préféré, la Salle 101 dénonce quelques oeuvres déviantes susceptibles de nuire à la santé mentale nationale : The white darkness, doc de David Grann. Jack Glass, roman chouette d’Adam Roberts. Agency, dernier machin de William Gibson. Ainsi va la vie, le temps et l’amour.
« Quand je vois les ventes en Imaginaire, mon coeur s’envole », s’enthousiasme l’édition française.
