[…] Enfin libérée du laxisme inconscient de Christiane Taubira, toujours prête à gracier des violeurs pédophiles communistes récidivistes schizophrènes, la Salle 101 t’offre un peu de légèreté en chroniquant plusieurs petites choses notables. Succession, de Scott Westerfeld. Cheval roux, d’Elsa Triolet. Alexandre Jacob, journal d’un anarchiste cambrioleur, par Vincent et Gaël Henry. Alors ? Alors, hein ?
“La Salle 101, c’est de l’architecture morale, en quelque sorte”, assène Georgette A.