[…] pour démarrer l’année avec une vigueur sociale-démocrate renouvelée, la Salle 101 dit du mal d’Enki-Bilal-le-peintre tout en disant du bien d’Enki-Bilal-le-dessinateur-de-BD, sans toutefois se limiter à l’art dégénéré, notamment grâce à l’immense Rosa Abdaloff qui parle de Cru, étrange recueil de Luvan, et l’immanente Alice Abdaloff qui découvre l’eau chaude et nous certifie que Jaworski, c’est bien. Félicitations.
« En 2014, je ne sais plus », balbutie Martin B. vers cinq heures du matin.