[…] désormais joyeuse dans son ultralibéralisme assumé, la Salle 101 fête la joie, l’avenir et le bloc béton en parlant de plusieurs oeuvres qui comptent, de celles qui changent les destins, redressent les nations et renvoient les pauvres à l’usine. Malicia, joli roman barré-chelou de Leandro Avalos Blacha, Adar, conglomérat francophone d’auteurs masqués qui achèvent l’oeuvre entamée par Léo Henry et Jacques Mucchielli, The Young Pope, série post-fasciste et pop-esthétique de Paolo Sorrentino. Eh ouais, man, trop hype.
« Je ne sais pas, je ne sais plus, j’étais saoul », prétend Eldar F.