[…] Droguée jusqu’à la moelle, saoule comme une vache, trop foncedé telmor, la Salle 101 parle d’art, car l’art rend libre, comme tu le sais. De l’art moderne-qu’on-voit-dans-les-musées, de l’art commercial avec le nouveau tome des aventures de Corto Maltese™, de l’art mystico-pénible-mais-quand-même-bien avec la réédition en un seul gros et beau volume du Monde d’Édéna, par Moebius. Tu vois, quoi.
« L’instinctothérapie, tu vois, moi chsuis d’dans », grommelle Jean G.