[…] Fière du talent dont son beau pays fait preuve pour respecter les droits des envahisseurs assoiffés de sang qui menacent nos traditions migrants, la Salle 101 développe une nouvelle politique éditoriale, axée sur le respect et la douceur : Le bâtard de Palerme, énorme chose joyeuse de Luigi Natoli. Jusqu’à la bête, petit roman de Timothée Demeillers dont personne ne parle. Et si l’amour, c’était aimer ?, extraordinaire bande-dessinée de Fabcaro, dont la hauteur de vue n’a d’égal que le traitement graphique. Profite, profite, ça va pas durer.
« Ah ah ah, t’es con », glousse François B.