[…] Comme promis, l’exceptionnel Rich Larson est venu parler de son travail, de ses romans, de la vie et du reste pendant toute l’émission, et en français s’il te plaît, alors que dire, à part que c’était tout à fait chouette ? Nous, à ta place, on cliquerait.
[…] Folle de joie, ivre de bonheur et de vins fins, la Salle 101 occupe le Ground Countrol et la librairie Charybde pour interviewer Stephen Graham Jones, auteur de Galeux et de Un bon indien est un indien mort, une heure d’entretien joyeux et plaisant, franchement, à ta place, on ne raterait ça pour rien au monde, allez, clique et WIN.
« Nan mais le problème, c’est les auteurs grands », se plaint Charlotte V.
[…] Public de feu, sache qu’il n’y a pas d’enregistrement ce soir, je répète, il n’y a PAS d’émission ce soir, pour cause de report à demain, mercredi 28 septembre à Ground Control, 81 rue du Charolais, Paris 12, à partir de 19h, en compagnie de Stephen Graham Jones, autant dire ce que sera beau, ce sera fou, ce sera superbe, tout comme toi, alors viens nombreux.
[…] Pour sa seconde émission enregistrée aux Intergalactiques de Lyon (que la lumière réifiée du communisme libertaire bénisse ce super festival chaudement recommandé), la Salle 101 te gâte en chroniquant L’architecte de la Vengeance, chouette chose de Tochi Onyebuchi, tout en interviewant OKLM Patrick Dewdney et Lizzie Crowdagger, alors là franchement, qu’est-ce que tu veux de plus, hein, franchement ?«
« C’était trop bien la Salle 101 », assure Germain L. avec ses potes Hell’s Angels.
[…] Déchirée aux Intergalactiques de Lyon, la Salle 101 enregistre une émission sur place de ouf, dans laquelle elle chronique Trois lucioles (tome 2 de la série Capitale du Sud) de Guillaume Chamanadjian, tout en interviewant tranquille, easy, Saul Pandelakis et Chris Vuklisevic (qui a beaucoup souffert, pardon à elle), autant dire qu’à ta place, on cliquerait de ce pas, et plus particulièrement ici.
« Je vois que ça s’arrange, hein », confie un éditeur après avoir assisté à deux minutes d’émission.
[…] Sereine et joyeuse, modérément ivre mais totalement enthousiaste, la Salle 101 interviewe Claire Duvivier et Guillaume Chamanadjian à propos de leur commune hexalogie, La tour de garde, tout ça en plein milieu de la libraire Le Merle Moqueur, à paris (arrondissement pauvre), devant un public conquis, médusé, stupéfait, emballé. Dire que tu as raté ça, ah ah ah ah ah allez clique.
« C’est super bien les Utopiales », affirme Roland L, après avoir chopé le Covid pour la troisième fois.
[…] indignée par la mort de Michel Sardou qui laisse la nation orpheline, la Salle 101 t’offre néanmoins un authentique moment de plaisir, en compagnie de Luvan, autrice d’Agrapha (entre autres), qui a la bonté de se connecter avec toi, public, oui, toi, pour t’expliquer son roman. Alors, bon, hein, bon.
« Moi je trouve que les photographies nettes, c’est surfait », prétend L, autrice islamo-gauchiste.
[…] Prête à toutes les compromissions, la Salle 101 interviewe Léo Henry au sujet de son nouveau roman Thecel, paru chez Folio SF, tout en parlant d’Intraitable, bande-dessinée sud coréenne de Choi Kyu Sok. N’est-ce pas sublime ? N’est-ce pas magnifique ? N’es-tu pas content.e ?
« Je lis Léo Henry, et c’est bon pour mon teint », affirme Brice H.
[…] Avec certes un peu de retard, mais qu’est-ce qu’une petite quinzaine de jours à l’échelle d’une montagne, la Salle 101 te livre l’interview de Claire Duvivier, dans laquelle tu entendras la lauréate du Grand Prix de l’Imaginaire 2021 parler de son premier roman, Un long voyage, à deux personnes saoules et remarquablement hors de propos. Une sorte de quintessence de Salle 101, en fait. Allez, clique.
« C’est marrant, quand on tape dragon + fantasy + guerre, ben ça ne ressemble pas du tout à mon roman », prétend Claire D.
[…] Très heureuse de t’offrir cette émission placée sous le signe de la désobéissance civile, de la lutte armée et de la pendaison des patrons aux tripes des curés, la Salle 101 interviewe l’anti-france aux Utopiales 2019 : Les ateliers de l’Antémonde en chair et en os. Tu verras c’est beau.
« Seule la destruction compte » clame la Salle 101, après son dix-septième infâme café aux Utopiales de Nantes.
