[…] Condamnée en première et seconde instance pour « Apologie du terrorisme avec des tentacules », la Salle 101 ne souhaite qu’une chose, te divertir. C’est ce qu’elle fait avec une sensualité indéniable en te parlant de Poul Anderson (L’épée brisée), de Kurt Vonnegut (Elle est pas belle, la vie ? et Dieu vous bénisse, Mr Rosewater) et de Jacob Hinrichs (Nouvelle de rêve, d’après Arthur Schnitzler). Oui ?
« Écouter la Salle 101 raconter des conneries ? Toujours prête ! » clame Mlle K.