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L’émission du jeudi 23 décembre 2010

[…] La Salle 101 se reprend, réactualise ses valeurs et disserte de Bolaño (Le troisième Reich), de Lewis Trondheim (Bludzee et Les carottes de Patagonie) et de Warren Ellis (Artères souterraines). Et le public d’en redemander.

« La vérité, c’est que le monde est triste », constate Karim L.

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Bientôt

Ton attention s’il te plaît.

[…] Public Chéri, par respect pour l’église catholique, la Salle 101 fête Noël le mardi 28 décembre 2010. Il n’y aura donc pas d’émission le mardi 28 décembre 2010. Je répète, il n’y aura pas d’émission le mardi 28 décembre 2010. Reprise des enregistrements le mardi 4 janvier 2011. Va en paix, public mon amour, va en paix.

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L’émission du jeudi 16 décembre 2010

[…] malgré les intempéries qui, à l’instar des hordes gauchistes, terrorisent la France, la Salle 101 prend son courage à deux mains, parle de Freak Angels (Warren Ellis), de Bit-Lit ! (aux Moutons électriques), de Transparence des Tigres (encore), de Jack Finney (Le voyage de Simon Morley) et même (pour rigoler) des Petits Mouchoirs (ah ah ah). Attention, le son est mauvais. Une inversion de phase inconsidérée sans doute fomentée par le ministère de l’intérieur ayant pulvérisé tous les indices de nullité technique. Hop.

« J’ai cru que le monde s’écroulait, mais non, dommage », se lamente Jean-François P.

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L’émission du jeudi 9 décembre 2010

[…] Enfin digne et sympathique, la Salle 101 parle de tout un tas de trucs fous: Léo Kennel et sa Transparence des tigres, Barry Gifford et son formidable Une éducation américaine, Charles Burns et son intrigant Toxic, Jack McDevitt et son cycle SF, sans oublier une excellente bande-dessinée, Les derniers jours d’un immortel, le tout dans le respect des croyances les plus diverses et la tolérance politique. Renversant.

« Le pistolet à clous ! », réclame Jeanine N.

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L’émission du jeudi 2 décembre 2010

[…] Triste, triste Salle 101. Après l’excellent début d’Alice qui nous parle d’Antoine BelloLes falsificateurs & Les éclaireurs —, le pathétique Raoul se noie dans deux bouteilles de rouge et n’arrive plus à articuler le moindre mot. De fait, saoul comme une vache, il massacre la chronique du film (?) Splice et du nouveau roman de Charlotte Bousquet, Llorona on the rocks. Ensuite, il part, s’endort dans le train, se réveille à deux heures du mat’ dans une gare inconnue, y passe trois heures et repart à cinq heures dans l’autre sens pour rentrer chez lui comme une merde. Vie d’esclave.

« L’important, c’est de ne jamais penser au bout de la route », philosophe Marcel I.