[…] Bien décidée à faire du benchmarking sur la Science-Fiction mondiale, la Salle 101 s’envole en chroniques d’une rare subtilité. Juge plutôt : La ballade de Black Tom, de Victor Lavalle. Le ParK, de Bruce Bégout. Le cavalier suédois, de Léo Perutz. Respect, hein ?
« Il faudrait investir dans la fantasy urbaine française », soutient Michael K.
[…] Public de feu, public en joie, public bonheur, voici ENFIN l’interview de Saint Olivier Texier, dont nous louons chaque jeudi la très haute sagesse et la hauteur de vue. Clique ici, public trop de love, et toi aussi, tu seras illuminé.
[…] Plus vivante que Jean d’Ormesson, plus sale qu’Antoine Gallimard, la Salle 101 enregistre entre elle, avec ses amis, dans un quartier riche de Paris, sans public pauvre et aviné, pour mieux te parler de choses profondes : Les 47 Ronins, roman de sabre japonais de Jiro Osaragi. Les forces de l’ordre invisible, bizarrerie étrange de Philippe Baudouin. L’iliade, poème épique de Michael Homère, dont personne n’a jamais entendu parler. Voilà.
« La science-fiction, c’est pas crédible », prétend Mila N.
[…] et revient bronzée, musclée, belle, moite et encore plus riche dès le mardi 15 mai 2018, pour une diffusion le 18 mai 2018. C’est vrai, c’est long, mais d’ici là, nous saurons trouver le temps d’éveiller ton intérêt en te proposant des surprises à la fois sensuelles et subtiles. Compte sur nous.
La direction.
[…] Fière de son gouvernement qui a su, avec humanité et coeur, faire rendre gorge à ces ordures météquo-bobos de zadistes irresponsables, la Salle 101 sécurise les rails SCNF en parlant d’oeuvres enrichissantes pour le coeur et l’esprit : Brûle, sorcière, brûle, classique rigolococo d’Abraham Merritt. Imbattable, bande-dessinée de Pascal Jousselin. Panthéon !, bande-dessinée égyptotrash de Hamish Steel. Alors, heureux-se ?
« L’infini de tes yeux bleus bleus », chante Stéphane M. en lançant sa nouvelle collection de livres avec des mots dedans.
[…] Soutien inconditionnel de Bernard Tapie, pour toujours et à jamais, la Salle 101 s’intéresse au sud de la France en chroniquant diverses petites choses notables, dont voici la liste : L’homme gribouillé, bande-dessinée tendance de Lehman & Peeters. Au-revoir là-haut, petit roman inconnu de Pierre Lemaître. Mind MGMT, bande-dessinée cheloucool de Matt Kindt. Hop ? Allez, hop.
« La maladie, c’est typiquement français », nous assure Olivier P.
[…] Hyper contente de s’être bien marrée à latter de l’homosexuel gauchiste avec ses amis chasseurs à la Fac de Montpellier, la Salle 101 soutient la reprise en main de l’éducation nationale en chroniquant plusieurs oeuvres d’importance : Amatka, roman chelousuper de Karin Tidbeck. Celle qui n’avait pas peur de Cthulhu, roman lovcraftopunk de Karim Berrouka. La quête onirique de Veillitt Boe, roman lovecraftorelou de Kij Johnson. Toute cette joie.
« Le problème quand tu milites, c’est la calvitie », témoigne René-Marc D.
[…] Fidèle en amour, toujours prête à soutenir Laurent Wauquiez, injustement salie par la chienlit judéo-islamo-maçonnique, la Salle 101 évoque plusieurs ouvres d’importance notable : Evangelia, de David Toscana, un roman qu’il est assez bien tout de même. Les oeuvres complètes de Simon Hanselmann, bandes-dessinées sublimes et joyeuses, avec de la drogue dedans. La décharge Mentale et Les escalopes, les deux dernières livraisons de la collection BD Cul des Requins Marteaux. Dingue, non ?
« Non non non non à la cochonnerie étudiante ! » clame Didier Z.
[…] Scandalisée par l’injustice faite à Nicolas Sarkozy, la Salle 101 lutte pour la justice et la vérité en évoquant diverses oeuvres notables, susceptibles d’éveiller ton intérêt : Issa Elohim, de Laurent Kloetzer. Espérer le soleil, de Nelly Chadour. Guide de survie pour le voyageur du temps amateur, de Charles Yu. Hystériquement fou.
« La science-fiction française est un guide », nous explique Jean-Claude D.
[…] Unie dans la douleur et l’anarchie, la Salle 101 s’élève vers la précarité économique en consacrant ses chroniques aux petits Mickeys. Juge plutôt : Howard Phillips Lovecraft, l’homme qui écrivait dans les ténèbres. Phil, une vie de Philip K. Dick. The private eye (avec des gens masqués dedans). Du sang sur les mains, de l’art subtil des crimes étranges. Yes man, Jah love.
« L’espoir, la lumière, Benoît Hamon », se pâme Norbert M.
