04.05.2009
category: On Air
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[...] Aloÿsus et Jules Abdaloff parlent en coeur du dernier Tavernier, Dans la brume électrique. Et c’est beau. Et long. Mais beau quand même.
« La vie c’est merdique, et après, tu crèves. » nous rappelle le jeune François, sept ans.
Notez que l’on y parle du film mais également du livre éponyme dont il est adapté, écrit par James Lee Burke. Et Burke, c’est bon. Ca ne redonnera pas la pêche à François, sept ans, mais c’est bon.
C’est marrant, François fait des photos pas droites.
François est mort, tout ceci ne l’atteint plus.
François aurait mieux fait de rappeler que Raoul Abdaloff, lorsqu’il parle de cinéma, ne dit que des conneries. C’est sûrement parce qu’il avait bu (j’ai des preuves).
C’est faux. Nous ne sommes pas mis d’accord – préalablement – sur le sens du mot « adaptation, », c’est tout.
Démocrate de merde.
La définition de « adaptation » par Raoul est très simple : c’est ce qui est adapté, mais mal. Du coup l’adaptation c’est mal. On ne dira pas qu’il manque de cohérence.
Le jeu de mot de Raoul m’a fait rire, j’en ai honte.
Raoul a raison. Une adaptation cinématographique, c’est le mal. Puisse dieu avoir pitié de vôtre âme.
Dans adaptation, il y a adapté.
mais dans la réalité, ce n’est pas adapté ! c’est MAL adapté ! Le mal est donc inhérent au cinéma, c’est pour cela qu’on peut se permettre de dire juste « une adaptation ».